Depuis le lundi 22 octobre dernier, le Conseil constitutionnel du Cameroun a apposé sa signature sur le blanc-seing de l'élection présidentielle que lui tendait le locataire du Palais d'Etoudi.
Même si Maurice Kamto qui est arrivé deuxième de la course, fait dans la résistance, parlant de « résultats fabriqués » ou d' « élection volée », l'on peut dire qu'avec ce verdict qui vide tout le contentieux électoral, la messe est dite.
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