A Rufisque, Bargny et Yennne, quelques-unes des zones traditionnelles de pêche les plus réputées de la région de Dakar, la survie des nombreuses familles repose désormais sur les frêles épaules de femmes sexagénaires pour la plupart, des transformatrices de produits halieutiques ayant définitivement conquis leur autonomie au soir de leur vie à force de labeur et de conviction.
Pour la cause du bien-être familial, ces femmes travaillent jour et nuit, faisant fi de leur âge à l'origine parfois de bien de handicaps, pour assurer dépenses scolaires et quotidiennes et contribuer à leur manière à la marche de la vie, au regard de l'importance de la pêche dans l'économie sénégalaise.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article