Pilleurs de tombes et autres malfrats, vous êtes prévenus. Des spécialistes en arts martiaux ainsi que des caméras de surveillance vous auront à l'œil s'il vous vient à l'idée d'aller troubler le repos des défunts. Zoom, à quelques jours de la Fête des morts, le 2 novembre prochain.
«On ne peut plus venir fleurir les tombes de nos proches décédés. C'est trop dangereux. J'y viens trois fois l'an et c'est toujours avec ma famille, en groupe.» Eric Lim, président de la société Heen Fo et membre exécutif de l'United Chinese Associations (UCA), évoque la situation qui prévaut du côté de la «Chinese section» du cimetière de Bois-Marchand.
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