Alger — La finance islamique, encore à ses balbutiements en Algérie, n'attendait qu'un cadre juridique pour prendre son envol. C'est désormais chose faite avec l'approbation lundi de la réglementation relative à son exercice par le Conseil de la monnaie et du crédit (CMC).
Entre 1.500 et 2.000 millards de dinars dorment dans les bas de laine, sous les matelas, chez les privés et les opérateurs économiques. Un défi pour l'économie émergente algérienne pour laquelle la mobilisation de l'épargne représenterait un apport non négligeable à son développement. Et la finance islamique pourrait apporter, dans ce cadre, une réponse à la part de la population qui n'épargne pas pour des considérations religieuses.
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