« Le film de Najoua s'appelait « Faouzi et Mostari ». Nous l'avons changé en lui attribuant le titre de «Pardon» en signe de fidélité et de reconnaissance, mais aussi, car c'est le dernier mot qu'elle a prononcé avant de tirer sa révérence », a déclaré son époux et compagnon de route Ridha Slama, après la présentation d'un extrait de la bande sonore exécutée par Riadh Fehri et son orchestre, en hommage à la grande disparue du cinéma tunisien.
« Najoua a relevé trois défis en même temps alors qu'elle se savait malade : achever le tournage, se soigner en Allemagne et réussir l'organisation du mariage de ses deux fils, un évènement heureux qu'elle a assuré avec éclat en lui conférant son style personnel et sa grande sensibilité », a fait savoir Ridha Limam qui a salué à cette occasion, tous ceux qui ont pris part à l'achèvement de cette œuvre, dans le respect de la volonté et des préférences de Najoua Slama.
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