Il veut des résultats qui soient acceptés par la majeure partie des congolais. C'est son combat de tous les jours et, en dépit de l'indifférence de la CENI, il n'a pas changé d'orientation.
Il tient, mordicus, à ce qu'il y ait un consensus entre toutes les parties prenantes aux élections du 23 décembre 2018 sur les questions qui fâchent dont celle de la "machine à voter" pour laquelle il propose, d'ailleurs, une alternative qui fait toutefois réfléchir pour son côté software. Il s'agit, évidemment, de la technologie Blockchain qui, selon lui, devrait permettre de vérifier l'évolution, par tous et en toute transparence, non seulement sur un seul serveur mais également sur plusieurs, du vote jusqu'aux résultats définitifs.
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