Le long métrage autrichien "Joy" de la réalisatrice Sudabeh Mortezai, projeté, samedi, dans le cadre de la compétition officielle de la 17ème édition du Festival international du film de Marrakech, pose un regard provocateur, singulier et féminin sur le trafic humain.
Cette pellicule de 101 minutes, qui met en vedette Anwulika Alphonsus, Mariam Sanusi et Angela Ekeleme Pius, relate l'histoire (le calvaire) de Joy, une jeune Nigériane qui arpente les trottoirs de Vienne pour gagner de l'argent afin de rembourser "Madame", la femme qui l'exploite et à qui elle est redevable d'une dette pour son transit illégal vers l'Europe, et pour soutenir sa famille au Nigeria et offrir à sa fille, qui vit avec elle, une vie meilleure.
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