A l'approche du Conseil des Affaires étrangères de l'UE qui doit confirmer lundi 10 décembre la prolongation des sanctions contre 16 officiels congolais, les appels au maintien se multiplient.
Parmi les 16 personnes concernées, figure le candidat du Front commun pour la Congo, la plateforme électorale créé par le sortant Joseph Kabila. Pour Kinshasa, ces sanctions sont politiques et sont « un cas flagrant d'ingérence inacceptable dans le processus électoral congolais de la part de l'UE », puisque le candidat du régime ne peut pas se rendre en Europe pour rencontrer ses partenaires.
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