Le candidat n°4 à la présidentielle et la plate-forme qui le soutient ont finalement décidé, après une opposition longtemps soutenue, d'aller aux urnes avec l'outil électronique tout en insistant sur le fait qu'il ne serve qu'à l'impression des bulletins de vote.
Jusque au 16 décembre, la coalition Lamuka s'obstinait dans son refus de ne pas faire usage de la machine à voter lors des élections du 23 décembre. Cette plate-forme, on se rappelle, avait mené tambour battant une campagne contre cet outil électronique, considéré comme faisant le lit d'une fraude électorale planifiée. Depuis ce week-end donc, la position de Martin Fayulu et de ses principaux soutiens a évolué par rapport à cette machine qui ne constitue plus une conditionnalité quant à leur participation aux scrutins du 23 décembre.
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