Le général Djibrill Bassolé est à la barre du tribunal militaire de Ouagadougou où les jours se suivent et se ressemblent. Au cours de la journée du vendredi 11 janvier 2019, le général Djibrill Bassolé à qui le parquet militaire oppose des écoutes téléphoniques, est dans sa posture initiale ; il ne reconnaît pas l'authenticité de ces écoutes.
D'ailleurs, il n'a pas voulu épiloguer sur ces écoutes téléphoniques qui, pourtant, importent beaucoup au parquet militaire et aux avocats de la partie civile parce que selon eux, c'est sur ces écoutes qu'est fondée, en partie, la culpabilité du général dans ce dossier du putsch manqué.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article