Pour faire face aux difficultés qu'elle éprouve dans l'accomplissement de sa mission d'aide humanitaire, l'agence onusienne a publié, le 16 janvier, un communiqué dans lequel elle sollicite auprès des Etats un financement flexible.
Justifiant la demande, le directeur exécutif du Programme alimentaire mondial (PAM), David Beasley, a spécifié que les contributions flexibles apportent à cette institution la liberté d'allouer son financement aux besoins les plus urgents et de répondre rapidement à la demande des réfugiés et personnes vulnérables, sans oublier le maintien de son assistance dans des pays en crises prolongées ou moins médiatisées. « C'est assez simple car, le financement flexible nous permet d'être plus rapides, performants et efficaces et d'avoir un impact maximal pour chaque contribution reçue », a-t-il dit, en soulignant que ces contributions issues des Etats permettront à l'institution d'atteindre aussi les personnes déplacées dans des zones difficiles d'accès et oubliées.
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