Beyrouth — En 2018, les autorités égyptiennes se sont servies de plus en plus souvent du prétexte de la lutte contre le terrorisme ainsi que des lois sur l'état d'urgence pour réprimer la dissidence pacifique, notamment en poursuivant des journalistes et défenseurs des droits humains, a déclaré Human Rights Watch aujourd'hui dans son Rapport mondial 2019.
Le président Abdel Fattah al-Sissi a été réélu pour un second mandat aux élections de mars dans un contexte largement contrôlé et inéquitable. Et le Parlement a publié une nouvelle série de lois extrêmement restrictives sur les médias afin de faire taire les dernières critiques internes à l'égard de son régime autocratique.
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