Mieux se connaître pour mieux vivre son art, c'est tout le sens que l'artiste musicien burkinabè Brawa Koto donne à cette 4e édition du festival Badara qui signifie en langue Dioula «au bord de l'eau».
«Nous avons besoin d'un tel évènement parce qu'il peut apporter pas mal de solutions surtout qu'il emmène les artistes à se redécouvrir à travers les ateliers. Ce sont donc des moments de partage d'idées et surtout de brassage culturel», confie le promoteur. Ce sont au total 21 artistes qui ont pris part à l'évènement.
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