Tunis — Le parlement tunisien devrait abandonner, ou revoir en profondeur, le projet de loi qui donnerait au gouvernement des prérogatives exorbitantes lui permettant de restreindre les droits lors des périodes d'état d'urgence, a déclaré Human Rights Watch aujourd'hui.
La législation permettrait à l'exécutif d'interdire n'importe quelle grève ou manifestation s'il estimait qu'elle menace l'ordre public, de placer sous résidence surveillée toute personne « dont les activités sont susceptibles de porter atteinte à la sécurité » et de suspendre des associations sur simple suspicion de participation à des actes préjudiciables.
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