Le ministre des Affaires sociales, Mohamed Trabelsi, avait affirmé à l'époque qu'une « petite minorité est concernée par la corruption au sein des établissements relevant de son département » et a parlé de la guerre menée contre la corruption au sein de son ministère.
Plus d'une vingtaine d'employés ont été impliqués dans cette affaire et entendus par le juge d'instruction. Que s'est-il passé depuis ? Ils ont été libérés et certains d'eux ont repris leur travail à l'orée de l'année 2018 et ont été même nommés dans des postes de fonction à la même policlinique El Omrane en janvier 2019 en dépit de l'enquête qui suit toujours son cours, selon les dires d'une source bien informée.
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