De source informée, les avocats de Claudine Razaimamonjy tiennent à préciser qu'ils n'ont eu aucun entretien avec la presse comme quoi ils ont demandé aux médias d'intervenir auprès des responsables étatiques à se pencher sur le cas de leur cliente.
D'après ces avocats, il n'y avait eu point de contact avec les journalistes qui vont divulguer des informations ou des propos, c'est selon, qui ne sont pas conformes à la loi. D'ailleurs, cela ne rentre pas dans le cadre de la déontologie qui régit le monde de la presse, ont-ils soutenu. Ils ont, en outre, souligné que ces informations qui ont circulé sur les réseaux sociaux s'avèrent fausses.
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