Ils demandent la transparence et la sécurisation des élections présidentielles du 24 mars prochain. Ils ont à cet effet organisé une conférence de presse hier pour évoquer le climat répressif mis en place par le régime : arrestations arbitraires et candidatures invalidées injustement et leur crainte de partialité des institutions en charge des élections. Le président Azali Assoumani est candidat à sa propre succession.
Le collectif d'opposants a pointé du doigt notamment l'existence de listes électorales parallèles et l'utilisation de fonds publics à des fins électorales. Me Mahamoud Ahamada, candidat et membre du collectif s'indigne :
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