La lutte contre le terrorisme ne doit pas être un prétexte pour réprimer la liberté d'expression et d'information au Burkina Faso, a déclaré Amnesty International aujourd'hui.
Le parlement s'apprête à réviser le Code pénal durant la session qui s'ouvre demain 6 mars pour y introduire de nouvelles dispositions. Ces dernières visent à réprimer les infractions liées à l'utilisation des technologies de l'information et de la communication, et prévoient des peines allant jusqu'à cinq ans de prison et des amendes en cas de communication, de diffusion ou de relai d'informations relatives aux forces de sécurité.
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