Deux semaines ne passent pas sans que les habitants de la ville océane ne se plaignent du banditisme juvenile qui y a élu domicile.
Les derniers cas en date se sont produits au quartier Culotte à Tié-Tié, à Mvou-Mvou et à Siafoumou à Mongo-Mpoukou où les "bébés noirs" ont donné la mort à trois personnes en plein jour. De plus en plus, la non-assistance à personne en danger prend aussi de l'ampleur car la population craint aussi d'être agressée, d'où cette apathie. Ces "bébés noirs", a témoigné une maman rencontrée vers le marché Mayaka, ont changé la façon d'agir.
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