Le constat est une interpellation à la fois des services municipaux et des gestionnaires des marchés. Car balayer chaque semaine un marché n'est pas synonyme de le désinfecter ou de le dératiser.
Nos marchés, on ne le dira jamais assez, sont devenus des refuges de rongeurs, en l'occurrence des rats et des souris et autres petites bêtes à la recherche de certains débris d'aliments. On y trouve des insectes de toute nature et des micro-organismes dangereux, notamment des bactéries résultant des aliments avariés, responsables de certaines maladies dont souffre la population. Ainsi peints, nos marchés sont sales et nécessitent des campagnes de désinfection et de dératisation pérennes.
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