Au-delà de la mine d'enterrement, des propos de circonstance pour réconforter les rescapés ainsi que des vivres et des médicaments apportés pour parer au plus urgent, Ibrahim Boubacar Keïta a-t-il enfin pris la mesure, toute la mesure, de ce mal qui est en train de ronger insidieusement le tissu social malien depuis maintenant de nombreuses années ?
Au lendemain du massacre, le samedi 23 mars, de quelque 135 Peuls dans les villages d'Ogossagou et de Welingara, au centre du mali, le locataire du palais de Koulouba s'est en effet rendu dans le premier village cité pour constater de visu toute l'étendue du désastre.
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