Depuis le 25 août 2016, l'enceinte de la Grande Mosquée de la ville de Ouagadougou vivait au rythme des vrombissements de bétonneuses, de mouvements incessants d'une centaine de personnes, à l'image d'une fourmilière. Si elles y sont, ce n'est pas forcément pour accomplir la «salat»1.
C'est en effet un monde inhabituel dans lequel vous trouverez des ouvriers dans la maçonnerie, la soudure, l'électricité, la sonorisation, entre autres.
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