Le chef de l'Etat a tenté de rassurer les Tunisiens sur le fait que son mandat n'a pas été catastrophique et qu'il avait hérité d'une situation économique incontrôlable et d'un climat social de vendetta et de surenchère revendicative explosive. Deux états de fait que les gouvernements successifs n'ont pu endiguer.
Le président de la République a estimé qu'il regrettait le départ trop rapide de ceux qui ont quitté Nida Tounès mais considérait que ceux qui sont restés représentent une force suffisante capable de conduire plus en avant le parti.
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