Après Yirgou, voici Aribinda, le TOCSIN sonne à nouveau pour exprimer l'indignation générale des Burkinabè. Dans les deux cas, les massacres intercommunautaires font suite à des crimes odieux commis par des individus non identifiés, probablement, des terroristes aux visages hideux.
Ils ont massacré des leaders d'opinion et des membres de leurs familles, d'un côté, un chef coutumier, de l'autre, un guide religieux musulman. Même, leurs âges avancés, donc leur statut de grand-père ou de père, n'ont pas dissuadé leurs bourreaux.
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