Ils veulent demander des dommages et intérêts si toutefois les accusés au procès du coup d'Etat manqué du 16 septembre 2015 sont reconnus coupables des faits à eux reprochés. Eux, ce sont les gens qui se sont constitués parties civiles dans le cadre de cette procédure, estimant qu'ils ont été lésés ou brimés pendant les heures sombres qui ont suivi l'arrestation des autorités de la Transition.
Ces victimes étaient au devant de la scène, hier 9 avril 2019, dans la salle des Banquets de Ouaga 2000 pour confirmer leur constitution de partie civile et décrire les circonstances dans lesquelles elles ont été atteintes par balle ou ont vu leurs engins de déplacement réduits en cendres.
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