L'étau se resserre autour des quartiers sud de Tripoli. Les troupes du maréchal Haftar piétinent toujours aux portes de la capitale libyenne, visée mardi soir par plusieurs tirs de roquettes. Le Premier ministre Fayez el-Sarraj, chef du Gouvernement d'union nationale, accuse son rival de « crimes de guerre », ce que le maréchal Haftar conteste.
Les affrontements se sont intensifiés ces dernières 24 heures à Tripoli, constate le représentant de l'Organisation mondiale de la santé à Tripoli, le docteur Syed Jaffar Hussain. « La nuit dernière, il y a eu des bombardements extrêmement intenses », explique-t-il.
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