Depuis le 13 avril dernier, date de la dernière manifestation du Parti National Panafricain (PNP) dont le leader, Tikpi Salifou Atchadam, vit dans la clandestinité depuis plus d'un an, le bras sécuritaire du régime de Faure Gnassingbé semble avoir ouvert la chasse aux sorcières dans les rangs des militants du parti d'opposition.
En effet, ce sont successivement le trésorier, le secrétaire exécutif et le conseiller spécial du président du parti qui sont allés grossir les rangs des nombreux prisonniers politiques et d'opinion qui croupissent dans les geôles du régime, au motif que leur manifestation n'aurait pas respecté les itinéraires autorisés et qu'elle s'est soldée par une mort d'homme.
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