Au lendemain du conflit intercommunautaire entre les Baoulé et les Malinké, Béoumi est restée une ville morte. Aucune activité n'était perceptible. On pouvait même entendre les mouches voler. Les deux camps continuaient de se regarder en chiens de faïence.
Armé, pour la plupart, d'armes blanches et quelquefois même d'armes à feu, notamment des fusils calibre 12, chacun tient à marquer son territoire pour se protéger de son « ennemi ».
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