Le viol supposé, suivi de meurtre de la fille du directeur de l'Agence de développement local (Adl) dans la nuit du samedi dans son domicile à Tambacounda est un cas qui vient s'ajouter à la longue liste des violences faites contre les femmes. Le meurtre après avoir commis un sacrilège comme le viol serait-il en phase de devenir une banalité dans la société ?
En début de semaine, Coumba Yade a été retrouvée morte dans la chambre de son violeur dans le quartier Hersent à Thiès. Son meurtrier court toujours.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article