Cannes (France) — L'Algérie des années 90, qui traversait à l'époque une période dite "la décennie sombre", marquée par l'apparition d'un radicalisme religieux, est le théâtre choisi par la réalisatrice Mounia Meddour pour dresser le portrait de jeunes filles "libres", symbole d'une "résistance".
Ce long métrage fiction, en compétition dans la catégorie "un certain regard" au 72e Festival international de cinéma de Cannes (du 14 au 25 mai), met en exergue le refus des femmes algériennes, incarné par Nedjma (Lyna Khoudri), une étudiante qui aspire à devenir styliste.
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