Cent quatre-vingts pays se sont mis d'accord, le 10 mai à Genève (Suisse), pour limiter les exportations de plastiques usagés dans le monde, en exigeant l'autorisation préalable de l'Etat destinataire pour l'exportation de déchets contaminés ou en mélange.
Sous le feu des projecteurs depuis plusieurs années, les déchets plastiques marins viennent d'entrer officiellement dans le champ d'application de la convention de Bâle, qui limite les mouvements transfrontaliers de déchets dangereux. Objectif : « Rendre le commerce mondial des déchets plastiques plus transparent et mieux réglementé, tout en garantissant une gestion plus sûre pour la santé humaine et l'environnement », affirme le communiqué de presse publié à l'issue de la quatorzième conférence des parties (COP14).
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