Cette fois, ce sont les médecins, infirmiers, sages-femmes et autres agents de santé qui étaient de permanence. Pas dans leurs salles de garde comme en temps normal, mais à la Bourse du travail et dans les différents piquets de grève à travers le pays.
Fait historique en effet dans l'histoire syndicale de la Haute-Volta au Burkina, tous les syndicats de la santé ont déposé en même temps seringues, stéthoscopes, ciseaux, bistouris et spéculums pour obliger le gouvernement à honorer l'ordonnance qu'ils avaient prescrite pour «l'amélioration de leurs conditions de vie et de travail».
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