Si la contestation salue l'annulation de l'élection présidentielle du 4 juillet, l'annonce est loin de disperser les doutes sur les intentions du pouvoir en place.
En Algérie, la succession du président Abdelaziz Bouteflika pourrait durer plus longtemps que la loi ne le permet. L'élection présidentielle initialement fixée au 4 juillet a été reportée de facto ce dimanche 2 juin. Le Conseil constitutionnel n'a validé aucune des deux seules candidatures déposées devant elle. L'instance a préconisé que la présidence intérimaire de Abdelkader Bensalah se prolonge au-delà des délais prévus par la Constitution. Mais s'ils ont obtenu le report de l'élection tel qu'ils le demandaient, les contestataires ne crient pas victoire.
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