Au Soudan, depuis le massacre du sit-in perpétré le 3 juin, à Khartoum, par les militaires, les FSR sont critiquées de toutes parts. Ces Forces de soutien rapide étaient déjà accusées de multiples crimes au Darfour. Elles sont toujours largement déployées à Khartoum. Or, plusieurs indices montrent que des étrangers sont intégrés à cette milice paramilitaire tristement célèbre.
« Je suis Tchadien. Maintenant, je suis au Soudan... », une vidéo, postée sur twitter, montre un homme en uniforme des FSR. Il se présente comme un Tchadien d'Am Timan, déclare avoir vécu trois ans au Soudan et voyagé en Arabie Saoudite, aux Emirats, au Yémen et au Qatar. Un indice de plus montrant que les FSR intègrent des étrangers.
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