Après les violences meurtrières de ces derniers jours à Savè et Tchaourou, la ville d'origine de l'ancien président Boni Yayi, l'opposition et la société civile dénoncent un usage excessif de la force.
Les mots choisis sont durs et accablent le pouvoir. Candide Azannaï, de Restaurer l'espoir, dénonce avec fermeté « l'usage excessif de la force et une dérive inacceptable ».
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