Le premier sommet sur les mutilations génitales féminines et les mariages d'enfants ouvert à Dakar, hier dimanche 16 juin, à l'occasion de la célébration de la journée de l'enfant africain et organisé par l'ONG Safe hands for She, vise à assoir des bonnes pratiques afin que les mutilations génitales féminines et les mariages d'enfants soient arrêtés d'ici 2030.
Ayant décelé un lien de ces pratiques avec la pauvreté, la directrice des opérations de la banque mondiale, Louise Cord, a estimé que les femmes et les filles en Afrique doivent être soutenues afin de changer les revenues financiers des personnes démunies. Selon Louise Cord, «le nombre de pauvre en Afrique a augmenté de 100 millions de personnes».
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