Le 21 juin, les femmes du Collectif contre l'impunité et la stigmatisation des communautés (CISC) ont bravé le soleil pour tenir un sit-in devant le Tribunal de grande instance de Ouagadougou. L'objectif de ce mouvement d'humeur de l'autre moitié du ciel, était d'interpeller le gouvernement afin qu'il «mette à la disposition de la Justice tous les moyens nécessaires pour permettre de rendre justice aux victimes de Yirgou, d'Arbinda, de Bahn, de Kain, de Konga, etc. »
Faut-il le rappeler, ces différentes localités constituent dans l'imaginaire collectif de bien des Burkinabè, le summum de l'horreur du péril communautaire qui menace aujourd'hui le vivre-ensemble au Burkina Faso.
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