Il a été un pionnier de la techno, roi des DJ et se frotte depuis des années au classique. Mais à l'ère du numérique, Jeff Mills regrette la disparition du côté artisanal et engagé de l'électro face à la musique "bubblegum".
Aux Chorégies d'Orange, le plus ancien festival d'art lyrique de France, où le public est plus habitué à entendre les oeuvres de Mozart et de Rossini qu'à voir des platines, l'Américain de 56 ans a joué mercredi soir 11 de ses titres aux côtés de l'Orchestre régional Avignon-Provence.
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