Selon Vincent Dabilgou, il était plus qu'urgent d'assainir le parc automobile au moment où le pays fait face à l'insécurité et au terrorisme. «Le système était obsolète et était dans une situation où on ne peut pas gérer une base de données très correcte.
Nous avions aussi des faussaires dans le système et qui ont produit beaucoup de plaques d'immatriculation, qui ne nous permettaient pas de pouvoir les identifier.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article