Défaillances sécuritaires, mauvaise organisation, les critiques fusent depuis deux jours en Algérie après la mort de cinq jeunes à l'entrée du concert du rappeur Soolking jeudi soir. Un drame national qui n'est pas resté sans effet. La ministre de la Culture et le directeur général de la Sureté nationale ne sont plus en poste depuis samedi.
Les sanctions ont débuté dès vendredi avec d'abord le limogeage du directeur de l'Office national des droits d'auteur qui organisait le concert. Un événement qui s'est tenu dans un stade manifestement trop petit et trop vétuste, avec des voies d'accès inadaptées au nombre de spectateurs.
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