Le caractère soudain et brutal de la mort de DJ Arafat engendre un sentiment d'incompréhension et de révolte au sein de toute la société ivoirienne. Arafat avait encore tellement de choses à nous dire, à dire à la société, à la jeunesse, car ce « produit » de la rue avait réussi à sortir de la rue.
Avec sa mort, la société se rend compte qu'elle n'avait pas assez écouté, ni compris ce que portait comme messages, - au pluriel le mot « messages » - ce « produit de la rue ». La société se sent peut-être aujourd'hui coupable de cette mort ! Elle s'en empare et s'emballe pour tenter de se rattraper et se donner bonne conscience...
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