Ce mercredi 18 septembre est un « jour noir » pour beaucoup d'Érythréens, notamment pour les proches des réformistes et des journalistes incarcérés le 18 septembre 2001, dans la grande rafle ordonnée ce jour-là par les autorités.
Leur tort aux yeux du gouvernement : avoir critiqué le leadership du tout-puissant président Issayas Afewerki et demandé des réformes démocratiques. Depuis ce jour, aucun prisonnier n'a été inculpé ou présenté à un tribunal, ni même obtenu de rentrer un contact avec leur famille.
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