Deux étudiants arrêtés mardi lors d'une manifestation et un militant politique arrêté mercredi devant chez lui ont été placés en détention provisoire jeudi. Les routes aux entrées d'Alger ont été bloquées pour empêcher les manifestants de se rendre dans la capitale ce vendredi. RFI est allée à la rencontre des familles de ceux qui ont été arrêtés au cours des derniers mois. Ils s'inquiètent d'un durcissement sécuritaire.
Le fils d'Arezki Challal est détenu depuis le 28 juin parce qu'il portait un drapeau berbère : « Qu'on les relâche parce qu'il n'y a pas de délit. Il n'y a pas un délit qui s'appelle "port de l'emblème amazigh". Cela n'existe pas », s'agace-t-il.
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