Ma voisine d'en-face a perdu son mari. Mon voisin, le pauvre, était un homme exemplaire dans le quartier. Il m'inspirait beaucoup et je lui rendais la politesse. Hier matin, j'étais avec sa désormais veuve, ma voisine. Je suis allé la réconforter. Mais c'est plutôt elle qui m'a consolé. J'ai sangloté hier matin comme un bambin.
J'ai pleuré comme un veau, comme une madeleine. Il y a des douleurs qui se partagent ; il y a des peines qui contaminent. Cette chronique n'est pas qu'une chronique ; elle est un coup de gueule, le cri du cœur d'une âme blessée qui vocifère sa souffrance. C'est dur de voir les larmes d'une femme qui pleure son mari.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article