En Tunisie, les résultats du second tour de la présidentielle du 13 octobre dernier, donnent le candidat indépendant et conservateur, Kaïs Saïed, largement vainqueur avec 72% des voix. Son challenger, Nabil Karoui, libéré à l'avant-veille du scrutin, n'a donc pas pu opérer le miracle de se hisser de la prison de Monarguia au palais de Carthage, emporté certainement par son dossier judiciaire qui a dû fortement peser dans la balance du choix des électeurs, après avoir plombé sa campagne par la restriction de sa liberté, quelque trois semaines avant le premier tour.
Sa libération n'aura donc pas produit dans les urnes, l'effet domino attendu des électeurs qui auraient pu se prendre de sympathie pour l'ex-prisonnier.
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