Malgré son interdiction depuis 1996, l'excision a la peau dure au Burkina Faso. D'après une enquête multisectorielle, 67,6% des femmes et filles âgées de 15 à 49 ans ont subi en 2015, des mutilations génitales féminines (MGF). Si certaines d'entre elles gardent des séquelles bénignes, d'autres vont en souffrir en toute leur vie. Témoignages !
Maminata Coulibaly* avait à peine 10 mois, lorsque sa grand-mère lui a fait ôter, le clitoris, ce petit organe génital important dans la sexualité. Cette ablation a été faite à l'insu de sa mère. Elle raconte, que la triste situation dans laquelle sa mère l'a trouvée ce jour fatidique, lui hante toujours l'esprit.
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