«Refus de reconnaître et de mettre en œuvre les orientations du président d'honneur ... », «actions de blocage du fonctionnement et tentative de liquidation du parti ... », «acte d'insubordination», «sorties médiatiques portant atteinte à l'image du fondateur et du parti», «démission exigée du président du parti en violation des cadres d'expression statutaires».
La liste des récriminations contre certains camarades du parti est longue. Après plusieurs mois de ping-pong et de joutes verbales par médias interposés, la direction du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), avec en tête Eddie Komboïgo, a décidé de siffler la fin de la récréation.
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