Après 4 jours de manifestations émaillées de plusieurs admissions hospitalières pour blessures diverses, l'hôpital régional de Labé a été submergé mais a vaillamment accompli sa tâche sous pression parfois.
Le directeur de l'institution, docteur Attoulaye Sall est monté au créneau jeudi, pour dénoncer le vacarme qui vient entraver la quiétude nécessaire au repos de ses patients, sans oublier de dénoncer le fait qu'à chaque manifestation les pierres des manifestants et les gaz des forces de l'ordre se retrouvent dans l'hôpital, expliquant du coup que pour les manifestations démarrées lundi des malades ont suffoqué des effets du gaz et des nouveaux nés ont été oxygénés pour être réanimés des mêmes effets.
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