La ville malienne de Kidal est toujours aux mains des ex-rebelles de la Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA). Même si un gouverneur nommé par Bamako est sur place, il est plutôt discret. En l'absence des services judiciaires de l'État malien, c'est la justice traditionnelle qui s'applique.
Dans la cour d'un bâtiment de Kidal, assis sur des nattes, des habitants attendent. Ibrahim est venu porter plainte contre un voisin : « Ici, c'est la justice, la loi islamique. En l'absence de l'État, on se réfère à l'islam pour essayer de voir la personne qui a tort, ou pas, et sans procureur. »
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