L'attaque du camp militaire d'Indelimane, revendiquée par l'Etat islamique et qui a causé la mort de quarante-neuf soldats maliens, souligne les limites de l'action militaire dans la lutte contre les djihadistes.
L'attaque, vendredi 1er novembre, d'un camp militaire d'Indelimane, près du Niger, dans le nord du pays, a causé la mort de quarante-neuf soldats maliens. Deux autres ont été tués le lendemain, samedi 2 novembre, dans l'explosion d'un engin explosif dans le Centre. Depuis 2012, les attaques djihadistes se multiplient dans le nord du pays, en dépit de la présence de l'armée malienne, de la force française Barkhane et des soldats de la Minusma, la force militaire de l'ONU.
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